Mélanie Busby : responsable de la Coalition large sur l’énergie
Son parcours scientifique et la diversité de ses expériences contribuent à solidifier les projets du Front commun pour la transition énergétique. Elle aide les membres à créer des liens et à dialoguer autour de sujets complexes.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Un défi complexe de transformation sociale qui exige de nous réinventer. Cela exige beaucoup de créativité, ce qui est très stimulant. »
Curieuse de tout, Mélanie Busby a un parcours professionnel à son image: un peu en zig zag entre la biologie (elle détient un PhD sur le cancer du sein), le cinéma (elle a travaillé sur plusieurs projets de documentaires) et l’aviation (c’est une ex pilote professionnelle d’hélicoptère). « Je veux faire tout ce qui est en mon pouvoir pour laisser un monde meilleur à mes enfants. Quand une mère entreprend quelque chose pour ses enfants, attention à vous ! »
Lucile Ruiz : responsable – Collectivités ZéN
Passionnée par les enjeux de transition socio-écologique et d’amélioration de nos pratiques de travail pour une collaboration efficace, Lucile est ravie d’apporter son expérience acquise dans le milieu industriel pour servir une cause qui lui tient à cœur!
Sa vision de la transition socio-écologique ?
« Une nouvelle façon de penser, d’occuper et de vivre nos territoires pour nous adapter aux changements climatiques déjà en cours, et mitiger ceux à venir le plus possible. Je rêve d’une transition inclusive, joyeuse et créative! »
Lucile est diplômée d’une école d’ingénieur·es française en génie des procédés, et a passé 5 ans dans le secteur du traitement des eaux usées, en tant qu’ingénieure de projet, puis chargée d’amélioration des processus de travail. C’est en créant un comité « développement durable » avec d’autres employés engagés au sein de son ancienne entreprise que Lucile a eu envie de creuser le sujet de la transition socio-écologique. Curieuse et mordue de nouvelles expériences, elle aime participer au développement communautaire de son quartier en prenant part à divers projets socioculturels, et complète présentement une formation professorale de yoga.
Anaëlle Caplain : chargée de projet – Transition juste en milieu de travail
Titulaire d’un diplôme d’ingénieure en eau-énergie-environnement, Anaëlle s’intéresse à l’inclusion de toutes les communautés dans les modèles que nous bâtissons pour demain, et aux technologies propres.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « D’abord, une remise en question personnelle sur nos modes de vie, nos vieilles habitudes, mais aussi notre état d’esprit par rapport aux changements nécessaires. Je vois ces changements comme des bénéfices positifs, et non comme des sacrifices nécessaires. Ensuite, une énergie de groupe, où chacun contamine son voisin par des idées, des actions et de la détermination! C’est seulement par la force du nombre que nous arriverons, selon moi, à avancer dans la direction tracée. » Anaëlle cumule diverses expériences en OBNL, dans le domaine de la recherche scientifique, majoritairement en ce qui concerne le du traitement des eaux.
Maria Isabel Quintero : chargée de projet – Transition, inclusivité et justice sociale
Avocate colombienne et titulaire d’une maîtrise en droit de l’environnement à l’Université Laval, c’est durant ses études que Maria a découvert ses deux grandes passions : la protection de la nature et la biodiversité, ainsi que les droits humains.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Un changement de paradigme nécessaire vers une perspective éco-centrique où on reconnaît enfin des droits fondamentaux à la nature. »
Lors de ses études en droit, puis dans le cadre de son emploi au sein de l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture (IICA), Maria a développé des connaissances approfondies sur les enjeux socio-environnementaux du secteur agroalimentaire, plus particulièrement par le biais de projets d’agroécologie et de résilience climatique. C’est en travaillant dans ce domaine qu’elle a pris conscience de la vulnérabilité alarmante des paysans et des travailleurs ruraux face aux changements climatiques. Elle y a également été sensibilisée à l’impact de l’agriculture conventionnelle sur la biodiversité et sur l’insécurité alimentaire mondiale. Aujourd’hui, à la suite d’une formation en gestion et développement durable à HEC Montréal, elle désire se dédier à la création d’un système de solidarité collective plus juste, équitable et durable où chacun·e trouve sa place et contribue effectivement au bien-être collectif.
Ariane Beaudin : chargée de projet – Transfert des apprentissages
Toujours en train d’ajouter des cordes à son arc, Ariane se considère comme une personne généraliste qui adore apprendre. Sa curiosité, sa créativité, sa rigueur et son esprit de synthèse viendront en renfort au FCTÉ pour faciliter le transfert des apprentissages!
Sa vision de la transition socio-écologique ?
« Une opportunité d’aller à la racine des choses, de rebâtir des ponts, de réenchanter le monde! »
Ariane Beaudin milite dans le mouvement étudiant depuis 2019. Sa rencontre avec l’agriculture urbaine a été un point culminant dans son parcours professionnel, lui permettant de s’ancrer dans l’écosystème communautaire montréalais. Iel est à l’origine de l’initiative Fleurs d’attache, dont la mission est de (re)connecter les jeunes adultes vivant de l’écoanxiété à la nature en ville pour faire d’elleux des écocitoyen·nes engagé·es.
Quentin Lehmann : chargé de projet – Mobilisation jeunesse
Son parcours orbite autour de l’éducation relative à l’environnement qui est pour lui une clé centrale à une transition socio-écologique réellement décoloniale, anti-oppressive et autocritique.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « La transition est un changement de paradigme en continu qui se caractérise par un rapport au monde plus holiste, empathique et beaucoup moins anthropocentré. C’est un changement constant et à toutes les échelles qui passe nécessairement par l’abolition des oppressions et l’opposition au colonialisme. »
Diplômé en science politique à l’Université de Montréal, mais surtout militant pour la justice climatique au sein des mouvements étudiants, Quentin a participé à la co-création de l’Écothèque, un regroupement étudiant axé sur l’éducation et l’action directe qui se diversifie à travers des actions aussi radicales que douces.
Son implication militante lui a permis de mieux réfléchir les rapports de domination, les modes de fonctionnement horizontaux ainsi que les différentes stratégies de mobilisation, mais aussi de participer à différentes actions directes et à des projets plus institutionnels. Être chargé de projet en mobilisation jeunesse lui permet aujourd’hui de nourrir sa réflexion sur la transition tout en accompagnant celle-ci d’actions concrètes et collectives.
Leeloo Vernet : chargée de projet – Transport
Originaire de l’île de la Réunion, Leeloo a toujours centré son parcours sur la transition socio-environnementale et la justice climatique. «Animée par une certaine rage de vivre, j’ai toujours été très impliquée durant mes études», déclare-t-elle. Cependant, le déclic est survenu lorsqu’elle a rejoint le regroupement pour la justice climatique, L’Écothèque. Depuis ses premiers contacts avec cet écosystème de mobilisation pour la transition, elle se considère comme une «militante à temps plein», convaincue qu’il existe une multitude de façons de contribuer à sa manière.
Depuis lors, son parcours est guidé par cette volonté de participer à ce qu’elle perçoit comme une transformation sociale complexe, exigeant une réinvention profonde. Après avoir obtenu un bac en communication politique, elle a travaillé en tant que chargée de projet en communication au Front commun. Par la suite, elle est retournée en France pour poursuivre une maîtrise en politique environnementale. «Aujourd’hui, je reviens au Front commun, enrichie de ces nouvelles connaissances. La combinaison de mes savoirs militants et académiques me motive plus que jamais pour ce nouveau mandat.»
Sa vision de la transition socio-écologique ? «Une multitude de chemins à parcourir ensemble vers une société juste, durable et surtout plus enviable. Il s’agit de déconstruire nos systèmes actuels et leurs valeurs individualistes pour mieux (re)apprendre à vivre ensemble et à se reconnecter avec le vivant, au sens large, qui nous entoure. »
Marie-Eve Boucher : chargée de projet – Communications
Forte de son bagage en éducation populaire et en mobilisation citoyenne, Marie-Ève arrive au FCTÉ avec le désir que nulle personne ne soit exclue du travail colossal qui nous attend dans la construction d’un monde plus juste. Diplômée en études internationales – science politique, elle est impliquée depuis plus de quinze ans dans différents mouvements citoyens, étudiants, environnementaux et communautaires.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « L’occasion de révolutionner nos rapports avec notre environnement et avec les autres êtres vivants qui l’habitent. »
Depuis plus de dix ans, Marie-Eve œuvre en éducation populaire et plus spécifiquement en alphabétisation populaire. Elle croit que pour arriver à mobiliser largement la population autour de la transition, il faudra se servir de ce que vivent directement les gens pour partir d’eux et parler un langage qui leur ressemble.
Artiste peintre à ses heures, c’est dans la forêt et la lumière qu’elle trouve l’essentiel de son inspiration. « Je pense que c’est en rapprochant les gens de la nature et en leur permettant de développer un réel attachement à l’environnement qui les entoure qu’il sera possible d’adopter collectivement des comportements écologiques responsables. » C’est avec cette sensibilité et cette volonté ferme de ne laisser personne derrière qu’elle œuvre à toucher et à rejoindre le plus grand nombre de personnes pour porter ensemble ce magnifique projet qu’est la transition socio-écologique.
Aurélie Bernard : responsable de l’administration
Originaire de France et infirmière de profession, Aurélie vit au Québec depuis 18 ans. En France, elle a travaillé dans le milieu scolaire, en établissement carcéral, auprès de personnes en situation d’itinérance ainsi que celles prises avec des problèmes de dépendance. Au Québec, elle a œuvré dans une maison d’hébergement pour personnes vivant avec le VIH/Sida, en santé communautaire auprès d’un public très vulnérable et stigmatisé. L’humain est au cœur de son quotidien et de sa pratique. C’est une humaniste convaincue, allumée par la justice et la protection des plus faibles.
Sa devise d’équipe : Toujours faire de son mieux et que chacun puisse évoluer dans sa pratique tout en cheminant comme humain et croître personnellement. Elle aime la rigueur et le travail bien fait, organisé et consciencieux. Son engagement des 25 dernières années pour défendre l’humain et les plus fragiles s’étend dorénavant à l’échelle de la planète. Devant la crise climatique, plutôt que de sombrer dans l’éco anxiété, Aurélie a eu un réel appel à s’impliquer et se mobiliser. Elle a décidé de pousser le mouvement un peu plus loin et de changer de carrière pour faire rejoindre ses intérêts personnels, ce en quoi elle croit et son activité professionnelle.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Tout est dans tout! » Il est devenu évident que tout est lié : l’environnement, la démocratie, l’humain, une économie plus locale et humaine, une alimentation respectueuse de la nature et de la biodiversité, etc. Tout est lié et interdépendant. Agir sur l’un est agir sur l’autre. Améliorer un point de ceux-là dans sa vie, c’est améliorer les autres. Ce fut un vrai souffle de vie et d’espoir.
Pierre-Luc Baril : chargé de projet – Collectivité ZéN de la région de Laval
Son entregent, sa rigueur et sa créativité constituent sa « marque de commerce ». Cet authentique minimaliste est captivé par l’écologie politique et la politique municipale.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Moins, c’est mieux ! »
Pierre-Luc Baril est formé en histoire et en science politique. Plus récemment, il a complété une maîtrise sur les instruments employés par les municipalités afin de réaliser la transition socio-écologique. Fort de ses expériences diversifiées en recherche, Pierre-Luc a la ferme intention d’aider a concrétiser la transition socio-écologique.
Nadia Lemieux : chargée de projet – Collectivité ZéN de la Région de Québec
Nadia Lemieux a rejoint notre équipe en mars 2023 en tant que chargée de projet de la Collectivité ZéN de Québec.
Forte de ses expériences passées en tant que journaliste, organisatrice communautaire dans le milieu de l’itinérance à Montréal, auxiliaire de recherche et d’enseignement, Nadia s’implique dans la transition socio-écologique avec la conviction que l’action collective est un levier de changement social. Elle souhaite mettre à contribution l’intelligence et les expériences d’une diversité de personnes et de groupes pour réaliser la transition dans la Collectivité ZéN de Québec.
Sa vision de la transition ? «En tant que projet de société, la nécessaire transition socio-écologique nous invite à sortir de nos cocons individuels et à redécouvrir collectivement les liens de réciprocité qui nous unissent aux autres et à la nature».
À l’écoute des autres, Nadia se donne pour mission de rassembler les différents points de vue et de rallier les groupes au sein d’un projet collectif, convaincue que nous sommes plus nombreux·ses que nous le croyons à vouloir s’impliquer, et comme le dit l’adage : l’union fait la force !
Sandrine Tessier : chargée de projet – ClimAction Lachine
Avec un baccalauréat en communication en poche, Sandrine a occupé pendant les deux premières années de sa vie professionnelle un poste dans le domaine de la publicité. Rapidement, une évidence s’est imposée : travailler dans une industrie si diamétralement opposée à ses convictions profondes n’était plus une option. Elle a donc profité de la pandémie pour entreprendre, en 2020, une maîtrise en gestion et développement durable, à HEC Montréal. C’est à travers ce parcours qu’elle a développé un vif intérêt pour la décroissance, dont elle a pu allier les concepts à son intérêt pour les enjeux autochtones dans la rédaction de son mémoire. Pour elle, les savoirs ancestraux traditionnels et la vision du territoire des peuples autochtones sont des essentiels dans la mise en œuvre de la transition socio-écologique pour le Québec, mais aussi pour le globe.
Sandrine partage son temps entre sa tache de chargée de projet et celle de Coordonnatrice des communications au GRAME.
Sa vision de la transition ? Elle laisse la place à cette citation de Rob Hopkins, qui l’explique de manière limpide : « If we wait for the governments, it’ll be too little, too late; if we act as individuals, it’ll be too little; but if we act as communities, it might just be enough, just in time. »
Anouk Nadeau-Farley : chargée de projet – Collectivité ZéN de la région de Saguenay–Lac-Saint-Jean, Le Grand dialogue pour la transition régionale
Sa capacité à créer des liens favorise le travail de mise en commun pour le changement d’échelle que souhaite opérer le Front commun pour la transition énergique.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Des changements bénéfiques au sein de nos communautés pour le respect de la vie en général. »
Anouk Nadeau-Farley a participé à moult mobilisations et campagnes collectives pour susciter le changement social et écologique. Les minières canadiennes en Amérique latine, les barrages qui menacent les rivières, les projets de pipelines ou de sables bitumineux : les luttes collectives auxquelles Anick participe sont nombreuses! Maintenant ancrée au Fjord-du-Saguenay, elle a joint l’initiative régionale du Grand dialogue, puis le mouvement du Front commun pour la transition énergétique, pour poursuivre son action. « Pour moi, tout ça prend son sens quand je me retrouve, en nature, avec des personnes que j’apprécie. »
Ahamada Touré : chargé de projet – Collectivité ZéN de la région de l’Outaouais
Agir dans le but d’établir des solutions durables profitant au plus grand nombre constitue une source de motivation intarissable pour Ahamada. Il souhaite apporter son savoir-faire acquis tout au long de son parcours sur des sujets transversaux en lien avec l’environnement.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Accompagner les mouvements existants, imaginer et faire exister d’autres manières d’occuper le territoire ou tout simplement remettre au goût du jour des pratiques parfois oubliées. Il convient de prendre conscience de nos interactions avec un vaste écosystème auquel nous appartenons. . »
Ahamada a étudié les sciences environnementales lors d’un baccalauréat en géologie pour comprendre le fonctionnement de notre planète, puis a complété une maîtrise en environnements continentaux et hydrosciences pour mieux comprendre les interactions entre les écosystèmes. Il a entre autres mené un travail de recherche appliquée sur les effets des changements climatiques en lien avec les dynamiques des estuaires. À travers cette expérience prospective et pluridisciplinaire, Ahamada a pris la pleine mesure des enjeux d’une approche socio-écologique pour amorcer une transition juste et ambitieuse.
Arielle Paiement : Chargée de projet – Collectivités ZéN Gaspésie
Titulaire d’un baccalauréat par cumul en sociologie et en sciences de l’environnement, d’un DEP en charpenterie-menuiserie et cofondatrice d’une écocommunauté, Arielle se distingue par son parcours hétéroclite qui est le reflet de sa quête de cohérence, sa recherche d’un mode de vie équilibré qui fait du sens et qui contribuerait à réduire son empreinte écologique et celle de ses semblables.
La Gaspésie, son territoire d’accueil depuis une dizaine d’années, lui a permis de déployer ses racines dans un terreau fertile où le tissu social est encore bien vivant. Les rivières et la mer, la forêt et la côte ainsi qu’un horizon pour voir loin : ici, la nature n’est pas un concept mais un milieu de vie, un mode de vie, un rappel au jour le jour de ce qu’il y a de précieux à préserver. Se mettre au service de Collectivités Zéro Émission Nette Gaspésie est sa façon d’y contribuer. Elle y apporte son expérience en facilitation d’espaces de concertation et en gestion horizontale, sa passion pour les structures, les relations et les dynamiques collectives ainsi que sa soif de clarté et d’égalité.
Sa vision de la transition socio-écologique? « Les enjeux de l’environnement sont d’abord des enjeux humains ». Puisque la transition est inévitable, elle y voit une chance unique pour l’humanité de faire un choix moral : répondre à ce défi avec courage, intégrité et solidarité, ou donner raison à la fourberie, la lâcheté et l’égoïsme. La vie, elle, s’en remettra.
Ann-Sophie Croft-Lebel : Chargée de projet – Collectivités ZéN de Rimouski
Ann-Sophie Croft-Lebel a rejoint notre équipe en mai 2024 en tant que chargée de projet de la Collectivité ZéN de Rimouski-Neigette.
Rimouskoise d’origine, Ann-Sophie détient un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal ainsi qu’une maîtrise en management de l’Université Bocconi. Souhaitant poursuivre ses études afin d’occuper un emploi avec un impact positif dans son domaine, elle vient tout juste de compléter un DESS en gestion et développement durable à HEC Montréal.
Sa vision de la transition socio-écologique ? “Une occasion de remettre collectivement en question notre rapport à la nature et aux autres êtres vivants, afin que nos modes de vie évoluent pour refléter la relation symbiotique entre l’humain et son environnement.”
Ayant grandi entourée par la nature, Ann-Sophie a souhaité revenir dans sa région natale pour retrouver la proximité au fleuve tout en contribuant à faire de sa communauté un modèle de transition socio-écologique et de résilience.
Éloïse Le Bihan : Chargée de projet – Ahuntsic-Cartierville en transition
Éloïse Le Bihan a rejoint le FCTÉ en mai 2024 en tant que chargée de projet d’Ahuntsic-Cartierville en transition.
Montréalaise d’adoption depuis plusieurs années, Éloïse a d’abord suivi un baccalauréat en études internationales avant d’affiner son analyse des enjeux modernes au cours d’une maîtrise en sociologie. Son étude des mobilisations contre GNL Québec l’a convaincue que l’action collective peut être un puissant moteur de changement social. En revanche, elle a aussi pris conscience de l’irrationalité de l’inaction politique des puissants, ce qui l’amène à aligner ses valeurs personnelles avec un mandat porteur de sens. Elle tient à continuer d’apprendre, bloc de tofu par bloc de tofu, pour rester critique vis-à-vis du statu quo.
Sa vision de la transition socio-écologique ? « Un nécessaire cheminement pour réévaluer notre conception de l’intérêt collectif en vue d’acter une coexistence harmonieuse façonnant des alternatives qui se détournent des rapports de force et de production épuisant le vivant. »